poumon en médecine
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Le Moyen-Âge a été une période de grands progrès en médecine, mais aussi de nombreux retours en arrière. C’est la première fois que les médecins ont reçu une formation officielle et qu’ils ont pu suivre des cours de médecine avant d’exercer. Cependant, de nombreuses personnes croyaient encore que la religion avait plus de pouvoir sur la santé que la science.

La médecine au Moyen Âge

Au Moyen Âge, les connaissances médicales des médecins étaient très limitées. Ils s’appuyaient fortement sur les superstitions et le folklore pour traiter leurs patients. Par exemple, si une personne souffrait d’une maladie et saignait du nez ou de la bouche, ils pensaient que cela signifiait que son cœur saignait à cause d’une maladie quelconque. Ils prescrivaient alors des remèdes tels que la saignée (ouverture de plaies sur le corps) afin de guérir ce problème.
D’autres types de traitements consistaient à se purger à l’aide de laxatifs afin d’éliminer toutes les mauvaises humeurs du corps ; à transpirer en posant des pierres chaudes sur certaines parties du corps, comme les pieds ou les mains ; à appliquer des sangsues sur les zones enflées, comme les chevilles ; à couper la chair pourrie (parfois sans anesthésie) ; à utiliser des herbes comme l’ail dans la cuisine ; à boire du vin au lieu de l’eau parce qu’on pensait que cela aidait à prévenir les maladies& bien que la plupart des gens aujourd’hui le sachent mieux que cela !

Qui étaient les médecins au Moyen Âge ?

Au Moyen Âge, les médecins étaient généralement des moines. Ils étudiaient la médecine dans un monastère et devenaient ensuite médecins. Les médecins n’étaient pas formés dans les universités, mais ils suivaient un apprentissage auprès d’un autre médecin avant de pouvoir devenir eux-mêmes médecins.
Les médecins n’étaient pas très doués pour ce qu’ils faisaient, car il n’y avait pas de véritable science derrière leurs traitements ou leurs remèdes pour les maladies. La plupart de leurs connaissances provenaient de livres écrits par d’autres personnes qui avaient été médecins avant eux. Il n’y avait donc pas beaucoup de nouvelles connaissances ajoutées au domaine de la médecine à cette époque, sauf peut-être quelques nouvelles découvertes faites par des scientifiques qui n’étaient pas considérés comme des médecins (comme Galilée).
Les médecins n’étaient pas non plus très respectés, car la plupart des gens pensaient que c’était Dieu qui était responsable de la guérison des maladies, et non les médecins ; il n’y avait donc besoin de personne d’autre que Dieu lui-même !

Qu’est-ce qui était utilisé pour soigner au Moyen-Âge ?

Les gens utilisaient les plantes pour soigner les blessures, traiter les infections et soulager la douleur. Ils faisaient également des cataplasmes avec les feuilles de plantes telles que l’ail ou la camomille pour les appliquer directement sur les blessures ou les brûlures. Les personnes souffrant de fièvre ou d’autres maladies buvaient des tisanes pour se sentir mieux.
Quelles étaient les connaissances et la pratique de la médecine au Moyen Âge ?
La médecine du Moyen-Âge était basée sur des remèdes naturels et des herbes.
• La pratique de la médecine était principalement basée sur les enseignements de Galien.
• La médecine était dominée par la théorie selon laquelle la maladie était causée par un déséquilibre des humeurs dans le corps, qui pouvait être traité par des herbes, des minéraux et d’autres substances.

La médecine a parcouru un long chemin.

Comme vous pouvez le constater, la médecine a parcouru un long chemin depuis le Moyen-Âge. Elle n’est plus seulement un domaine de la pratique ou de la philosophie, mais aussi un domaine artistique. L’avenir de la médecine peut être encore plus passionnant que vous ne l’imaginez, mais nous devons garder la tête dans le présent et travailler dur pour que les patients soient toujours traités avec respect et dignité !

Au Moyen Âge, la pratique de la médecine en est à ses balbutiements. Il n’y avait pas d’hôpitaux et peu de pharmacies, mais il y avait tout de même des médecins qui soignaient les personnes souffrant de maladies ou de blessures. Ces guérisseurs utilisaient des herbes et d’autres remèdes naturels pour traiter leurs patients, car ils n’avaient pas accès aux médicaments modernes tels que les antibiotiques ou les vaccins. Ils comptaient aussi beaucoup sur la prière et sur la volonté de Dieu pour guérir de la maladie

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