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GASTRODUODÉNAL

L’ulcère gastro-duodénal est une maladie de l’appareil digestif qui se situe préférentiellement dans l’estomac et le duodénum, ainsi que, quoique moins fréquemment, dans l’œsophage distal. Son origine peut être due à de multiples facteurs, tels que des aliments épicés ou des infusions comme le café, le maté, etc. ou des boissons alcoolisées en excès, le tabagisme (en particulier les cigarettes), différents types de médicaments et les situations de stress. Plus de 50 % des patients souffrant d’ulcère gastroduodénal ne perçoivent pas de symptômes importants pendant au moins deux ans avant leur consultation médicale respective. Cette image montre un ulcère gastrique bénin d’apparence régulière et lisse.

ULCÈRE GASTRO-DUODÉNAL DE L’ŒSOPHAGE

L’œsophage peut souffrir des effets de la sécrétion peptique du reflux gastrique en raison de divers facteurs, dont des vomissements persistants et une hernie hiatale. L’agression initiale entraîne une œsophagite (inflammation de la muqueuse œsophagienne), qui peut conduire à la production d’un ulcère.

COMPLICATIONS DE L’ULCÈRE GASTRODUODÉNAL

Les complications les plus fréquentes de l’ulcère gastro-duodénal sont la perforation et l’hémorragie digestive, qui peuvent, par différents mécanismes, limiter ou déterminer différentes manifestations cliniques allant de modérées à graves, voire compromettre la vie du patient.
Un ulcère gastro-duodénal est perforé lorsque la lésion s’étend à travers les couches musculaires et la séreuse. La perforation est plus fréquente lorsque les lésions ulcéreuses se situent au niveau des parois ou des courbures antérieures. Des ulcères perforés dans les parois postérieures peuvent pénétrer d’autres structures. Cette image en haut montre un ulcère perforé dans la paroi postérieure de la première partie du duodénum.

NB pour la Tumeur de foie :  En dehors de la transplantation hépatique, chez les patients sans métastases, le traitement doit être tenté chez ceux qui présentent de petites tumeurs nodulaires – également sans toucher un autre organe – lorsque l’exérèse chirurgicale ou l’injection intratumorale (dans les carcinomes hépatocellulaires inférieurs à 4 cm de diamètre) d’alcool éthylique peut être effectuée afin de nécroser l’organe.

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